Pourtant, des solutions existent :
- La protection des lanceurs‧euses d’alerte au sein de la police
- L’enregistrement des contrôles d’identité : mise en place d’un récépissé
- La création d’un Comité C
- L’inscription des violences policières dans la mémoire collective (hommages aux victimes, etc)
- La protection du droit de filmer la police
- L’application de la loi sur l’identification des policiers·ères
- La diminution de la présence policière
- L’amélioration et l’allongement de la formation des policiers‧ères
- Le désarmement partiel de la police
- La création d’un·e Procureur·e spécial·e en charge exclusivement des dossiers de violences policières
- L’interdiction des caméras à reconnaissance faciale
Toutes ces solutions soont détaillées dans notre position contre le Racisme Institutionnel et les Violences Policières
Justice pour Adil, Baudouin, Imad, Ibrahima, Sourour, Lamine, Mehdi…
Manifestation : RDV samedi 15 mars – pl. du Luxembourg – 14h