Retour sur le 8 mars à Bruxelles

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Le mardi 8 mars dernier a eu lieu la journée internationale de lutte pour les droits des femmes.

Durant cette mobilisation, nos membres étaient armés de stikers (préparés par le Self Love Gang, le groupe féministe en non mixité choisie d’écolo j) ayant des slogans nécessaires à rappeler, en ces temps où cette journée du 8 mars est trop souvent réduite à une journée des femmes, « rose et fleurie ».

Il était donc important de rappeler que cette journée est avant tout une journée de mobilisation et de lutte pour le respect des droits des femmes.

 

 

 

L’horizon pour atteindre la parité femmes-hommes passe de 99 à 135 ans !

La crise de covid-19 a renforcé les inégalités, déjà très profondes, entre les femmes et les hommes. Les femmes ont été plus durement touchées par la crise, notamment au niveau de l’emploi, alors les hommes ont plus facilement retrouvé du travail malgré le recul de notre économie.

Soigner le monde, souffrir dans l’ombre

En plus d’avoir souffert de la crise de covid-19, les femmes se sont vues confiées plus de responsabilités. Alors que les lits d’hôpitaux se remplissaient, c’est le personnel soignant, en grande partie des femmes, qui ont dû affronter en première ligne cette crise, et ce avec des moyens réduits.

Donnons-nous rendez-vous l’année prochaine pour visibiliser les luttes pour les droits de femmes, et surtout mobilisons nous tous les jours pour le respect de ces droits.

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