Vers une écologie décoloniale

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🔴 Cela fait maintenant plusieurs décennies que les mouvements écologistes alertent nos sociétés et la planète sur les enjeux du dérèglement climatique. Ces discours écologistes – comme tout ce qui se fait dans les pays industrialisés du “#nord” – semblent cependant omettre les réalités qui sont celles des pays des “#sud”, qui subissent pour la plupart les effets du mode de vie ultra productiviste et consumériste de nos sociétés occidentales. Ces discours omettent également les biais de #domination présents dans nos sociétés sur les populations précarisées, ces biais ne pourront pas être dépassés sans une réelle #décolonisation.
💡 Nous devons impérativement nous décoloniser et penser le monde différemment, si nous voulons trouver des solutions globales au dérèglement climatique et parler d’écologie. C’est le sens de l’ #ÉcologieDécoloniale.
⭐ Pour t’outiller dans tes échanges sur le sujet, rejoins-nous le dimanche 10 octobre. Ruth Paluku Atoko (militante) et Thierry Amougou (économiste et enseignant-chercheur à l’Université catholique de Louvain) viendront nous parler des enjeux cruciaux de l’écologie décoloniale.
🤜 Ensemble, allons vers une écologie décoloniale.

Les infos pratiques

Berta qui ?

« Berta Cáceres est hondurienne, issue du peuple indigène Lenca. En 1993, elle cofonde le COPINH – le Conseil citoyen des organisations des peuples amérindiens du Honduras. A partir de 2006, elle se mobilise contre le projet de construction du barrage hydroélectrique d’Agua Zarca qui risque de priver d’eau des centaines d’habitant·es et d’expulser de nombreuses communautés. Son engagement lui vaut d’être régulièrement menacée.

En mars 2016, elle est assassinée chez elle. Une mobilisation internationale est lancée, des militant·es, partout dans le monde, demandent au Honduras une enquête impartiale et indépendante.
Le 29 novembre 2018, sept hommes sont reconnus coupables et condamnés.

Le journal Reporterre note que « le tribunal a jugé que le meurtre avait été ordonné par les dirigeants de la société du barrage, Desa, en raison des retards et des pertes financières liés aux manifestations dirigées par Berta Cáceres. Les assassins payés pour tirer sur Cáceres et ceux qui ont organisé le crime ont été condamnés, mais les commanditaires du meurtre restent pour l’instant dans l’impunité. »

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