Création de pancartes « Back to the Climate »

Agenda

COVID SAFE TICKET OBLIGATOIRE

🔴 Tu le sais certainement, le dernier rapport du #GIEG concernant l’évolution du #climat mondial et ses impacts est alarmant !
🔔 Quand nos parents étaient jeunes, le message était déjà clair : « si on ne fait rien maintenant, ce sont nos enfants qui en payeront les conséquences…. »
Et le temps passe….
‼ Aujourd’hui, les enfants, c’est nous et il reste 10 ans pour réagir de façon rapide avec un plan d’ #adaptation de grande ampleur si on ne veut pas vivre dans un monde totalement chamboulé, où la vie sur terre sera de plus en plus rude. Certaines parties du globe en subissent déjà gravement les conséquence, là, maintenant.
💀 Les inondations de cet été nous ont montré comment le réchauffement global de la planète peut affecter – avec force – notre quotidien, mais les épisodes de canicule – passés et à venir – sont tout aussi terribles.
⌛ Ce que nous ferons et déciderons aujourd’hui déterminera l’avenir de l’humanité.
Il est indispensable d’agir M.A.I.N.T.E.N.A.N.T !
📣 Alors, pour la Xème fois, allons crier notre besoin urgent de réactions politiques concrètes face à ce défi planétaire. Pas dans 10 ans. M.A.I.N.T.E.N.A.N.T.
🥁 Le samedi 9 octobre, à 17h30, le dernier atelier du Festival Berta Cáceres de la journée sera consacré à la réalisation de pancartes que nous porterons ensemble le lendemain à la grande manif « Back To The Climate ». Pour que nous soyons vu‧es et surtout entendu‧es !
( 👀 petite surprise prévue entre la fin de l’atelier pancarte et le souper 😁🎶 )

Les infos pratiques

Berta qui ?

« Berta Cáceres est hondurienne, issue du peuple indigène Lenca. En 1993, elle cofonde le COPINH – le Conseil citoyen des organisations des peuples amérindiens du Honduras. A partir de 2006, elle se mobilise contre le projet de construction du barrage hydroélectrique d’Agua Zarca qui risque de priver d’eau des centaines d’habitant·es et d’expulser de nombreuses communautés. Son engagement lui vaut d’être régulièrement menacée.

En mars 2016, elle est assassinée chez elle. Une mobilisation internationale est lancée, des militant·es, partout dans le monde, demandent au Honduras une enquête impartiale et indépendante.
Le 29 novembre 2018, sept hommes sont reconnus coupables et condamnés.

Le journal Reporterre note que « le tribunal a jugé que le meurtre avait été ordonné par les dirigeants de la société du barrage, Desa, en raison des retards et des pertes financières liés aux manifestations dirigées par Berta Cáceres. Les assassins payés pour tirer sur Cáceres et ceux qui ont organisé le crime ont été condamnés, mais les commanditaires du meurtre restent pour l’instant dans l’impunité. »

#CultivonsLaSolidarité & formons-nous !

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